Programme
Le programme détaillé est téléchargeable ci-dessous:
Les documents d'inscriptions sont également téléchargeables ci dessous
Contact: Pèlerinage diocésains de Cambrai
Tel: 03.27.38.12.62
pelerinages.cambrai@nordnet.fr
Du Lundi 9 Novembre
Départ le matin de Raismes ou Cambrai
en autocar jusque l'aéroport de Roissy puis vol E1 A1 (compagnie israélienne)
Au Vendredi 20 novembre
Retour en autocar sur Cambrai ou Raismes
Mardi 10 Novembre:
Puis rencontre avec Sr Sophie de la Compagnie des Filles de la Charité et messe dans la chapelle des Sœurs
Jeudi 12 novembre:
Arrivée à NAZARETH, traversée du souk et visite de l’église St Gabriel.
Vendredi 13 novembre:
Samedi 14 novembre
Dimanche 15 novembre
Lundi 16 novembre
Mardi 17 novembre
Le matin, découverte de la Ville Sainte : panorama du sud au Mont de l’ONU, puis à partir de l’est sur le Mont des Oliviers, topographie et histoire de la ville. Entrée solennelle dans Jérusalem, jusqu’au Saint Sépulcre.
L’après-midi, la vallée du Cédron, le tombeau de la Vierge, la basilique de GETHSEMANI, au pied du Mont des Oliviers.
Sur le Mont Sion, visite du Cénacle et messe de la Cène du Jeudi Saint en l’église de la Dormition.
Mercredi 18 novembre
L’après-midi, temps libre. Chemin de Croix dans la vieille ville et messe de la Passion dans la chapelle du Saint Sacrement, au Saint Sépulcre
Jeudi 19 novembre
Clôture du pèlerinage au Dominus Flevit, face à la Ville Sainte.
Pour se décider... Lire le témoignage ci dessous
Témoignage d’une pèlerine de la Terre-Sainte
Parmi les pèlerins habitués au Pèlerinage en Terre-Sainte, nous avons voulu recueillir le témoignage d’une pèlerine très régulière puisqu’elle fera cette année son 11ème pèlerinage.
P. Deca : Madame Mahy, dites-nous un peu ce que l’on retire d’un tel pèlerinage et pourquoi y retournez-vous chaque année ?
A. Mahy : Je suis attirée par la Terre-Sainte. Je crois même que si j’avais été plus jeune, je m’y serais établie. Ce qu’on y vit est unique, parce que c’est là que se trouve la source de notre foi. Aller sur les pas du Seigneur, là où il est né, là où il a vécu, souffert, Lui et sa Maman…, c’est quelque chose d’unique, de sacré ! Et le Saint-Sépulcre, quand on touche le rocher, … c’est…..il n’y a pas de mot pour décrire cela ! Là, on n’est presque plus sur terre ! D’ailleurs, à 2 mois du départ, je me vois déjà partie, je le vis déjà en ce moment !
La première fois que l’on y va, on en prend vraiment plein la vue. Mais on ressent tout de suite le besoin d’y retourner, pour mieux prendre le temps de goûter ce que l’on y reçoit. Et ce que l’on y reçoit est différent chaque année. Le pèlerinage n’est jamais le même d’une année sur l’autre. Il y a la richesse reçue dans notre cœur, il y a celle des prédicateurs, il y a aussi celle partagée avec les autres pèlerins. Nous y avons tissé ensemble des liens vraiment forts. Les échanges nous apportent de vraies richesses les uns aux autres, même si l’on vient de milieux différents, que les autres vivent leur foi autrement.
Alors là je peux vraiment « recharger mes batteries », et j’en ai besoin après des moments parfois difficiles vécus dans la vie courante. Si je n’avais pas la Terre-Sainte, je ne sais si j’aurais pu continuer…J’ai une petite retraite, mais je mets de côté pour y aller.
P. Deca : Parlez-nous aussi un peu des juifs, des arabes que vous croisez, du contexte qui a
parfois été différent il y a quelques années.
A. Mahy : Les juifs ? Ce sont des personnes comme moi. Ils sont proches de leurs enfants. Je
les apprécie beaucoup. Mais on voit qu’ils souffrent. Ils sont graves. Ils ne sont jamais en paix. Les arabes sont sympathiques, ils ont le sourire, beaucoup plus que les juifs. Et vous savez, même durant les années plus « chaudes » où Israël faisait plus la une des médias, je me suis toujours sentie en sécurité. Les soldats ou des civils de la Sécurité sont là, assurant une présence discrète mais efficace et on n’a vraiment rien à craindre.
P. Deca : Le mot de la fin, Mme Mahy ?
A. Mahy : La Terre-Sainte…Tant que je pourrai y aller, J'irai !
Clôture du pèlerinage au Dominus Flevit, face à la Ville Sainte.
Pour se décider... Lire le témoignage ci dessous
Témoignage d’une pèlerine de la Terre-Sainte
Parmi les pèlerins habitués au Pèlerinage en Terre-Sainte, nous avons voulu recueillir le témoignage d’une pèlerine très régulière puisqu’elle fera cette année son 11ème pèlerinage.
P. Deca : Madame Mahy, dites-nous un peu ce que l’on retire d’un tel pèlerinage et pourquoi y retournez-vous chaque année ?
A. Mahy : Je suis attirée par la Terre-Sainte. Je crois même que si j’avais été plus jeune, je m’y serais établie. Ce qu’on y vit est unique, parce que c’est là que se trouve la source de notre foi. Aller sur les pas du Seigneur, là où il est né, là où il a vécu, souffert, Lui et sa Maman…, c’est quelque chose d’unique, de sacré ! Et le Saint-Sépulcre, quand on touche le rocher, … c’est…..il n’y a pas de mot pour décrire cela ! Là, on n’est presque plus sur terre ! D’ailleurs, à 2 mois du départ, je me vois déjà partie, je le vis déjà en ce moment !
La première fois que l’on y va, on en prend vraiment plein la vue. Mais on ressent tout de suite le besoin d’y retourner, pour mieux prendre le temps de goûter ce que l’on y reçoit. Et ce que l’on y reçoit est différent chaque année. Le pèlerinage n’est jamais le même d’une année sur l’autre. Il y a la richesse reçue dans notre cœur, il y a celle des prédicateurs, il y a aussi celle partagée avec les autres pèlerins. Nous y avons tissé ensemble des liens vraiment forts. Les échanges nous apportent de vraies richesses les uns aux autres, même si l’on vient de milieux différents, que les autres vivent leur foi autrement.
Alors là je peux vraiment « recharger mes batteries », et j’en ai besoin après des moments parfois difficiles vécus dans la vie courante. Si je n’avais pas la Terre-Sainte, je ne sais si j’aurais pu continuer…J’ai une petite retraite, mais je mets de côté pour y aller.
P. Deca : Parlez-nous aussi un peu des juifs, des arabes que vous croisez, du contexte qui a
parfois été différent il y a quelques années.
A. Mahy : Les juifs ? Ce sont des personnes comme moi. Ils sont proches de leurs enfants. Je
les apprécie beaucoup. Mais on voit qu’ils souffrent. Ils sont graves. Ils ne sont jamais en paix. Les arabes sont sympathiques, ils ont le sourire, beaucoup plus que les juifs. Et vous savez, même durant les années plus « chaudes » où Israël faisait plus la une des médias, je me suis toujours sentie en sécurité. Les soldats ou des civils de la Sécurité sont là, assurant une présence discrète mais efficace et on n’a vraiment rien à craindre.
P. Deca : Le mot de la fin, Mme Mahy ?
A. Mahy : La Terre-Sainte…Tant que je pourrai y aller, J'irai !